Domaine Lebeault à Dracy-Lès-Couches
Vins et Spiritueux
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A propos
Des vins qui vous plaquent aux terroirs !
Si vous ne connaissez pas les vins du Couchois, c’est normal : il s’agit du secret le mieux gardé (des vins) de Bourgogne, à proximité de la Côte de Beaune et de la Côte chalonnaise. Leur rapport qualité-prix est exceptionnel. Et en plus, les vignerons y sont tous super sympas !
Le Couchois n’est pas qu’une terre de vins, c’est aussi une terre d’élevages et de cultures… y compris de rugbymen. En pénétrant dans le Domaine d’Olivier Lebeault, c’est toute la planète Ovalie qui va vous saisir par ses bons côtés : le respect des valeurs, le sens de l’effort, la convivialité, la fête, le partage… Rien ne manque à la panoplie d’Olivier. Il pratique le rugby depuis 25 ans et supporte le club de Couches (Fédérale 3) où il a joué. Commençons par un petit échauffement. Il s’installe en 1998, un an après son frère Jean-Philippe du Domaine de la Glycine, voisin de rue, de vestiaire. Les deux partagent alors 3,42 ha avec des vignes en appellation AOC bourgogne rouge et AOC bourgogne aligoté (blanc). Au fil des années, les deux gaillards plantent, louent, rachètent des vignes pour arriver à un domaine de 15 ha.
Tacticien de la qualité
Sur le domaine d’Olivier de 13 ha aujourd’hui, lorsque retentit le début de la saison, il est alors question pour ce 3e ligne au rugby, d’être au four et au moulin : lutte raisonnée dans les vignes, enherbement, labour pour les jeunes vignes… rien n’est laissé au hasard sur ses AOC maranges, santenay et hautes-côtes de Beaune ou encore sur ses mercurey. Des vignes allant de quatre ans jusqu’à plus de 70 ans car tout le monde doit participer au résultat final. Puis c’est l’heure de transformer l’essai et de récolter les raisins à pleine maturité, avec ses équipes de vendangeurs rentrant dans la mêlée, sur des parcelles majoritairement bien orientées Sud/Sud-Est. Avec des rendements maîtrisés, pas la peine de « trop marquer » les vins avec des fûts de chênes de deux ans d’âge. Il est d’ailleurs en train de refaire sa nouvelle cave à fûts. L’objectif d’Olivier est plutôt de vous plaquer délicatement au sol, sur celui de ses terroirs : comme pour son maranges 1er cru Les Loyères dont le sol regorge de galets et de roche : « cela donne un goût de griottes » à ce rouge soyeux.
Coach du goût
Après dix mois à un an d’élevage, ses vins se retrouvent alors dans toutes les bonnes adresses locales. « Je vends toutes mes bouteilles par connaissance ». Preuve qu’il a beaucoup de copains, notamment parmi les restaurateurs (Lutrin à Autun, Casino de Santenay…) et les gîtes locaux (Château de Millery…) qui lui envoient tous des clients les yeux fermés. Olivier ne botte jamais en touche. Alors prêt à refaire le match ? Avec une bonne côte de bœuf avec lui au coin de la cheminée, toujours dans une ambiance « détendue et sympa », à l’image des prix du domaine entre 6 € et 14 € la bouteille. Alors, enfilez vite vos crampons et courez-y, Olivier ne vous mettra pas un bouchon !
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